La table d'autel est le vestige historique le plus ancien de Balazuc. Elle témoigne de l'existence d'une église probablement carolingienne. Très bien conservée, elle avait été enfouie sous l'abside quand fut érigé l'église romane à la fin du XI-XIIème siècle. A l'époque celte existait déjà un temple païen, sur l'emplacement de l'église carolingienne. En haut de l'abside, on peut voir des meurtrières. Elle servait de tour de défense au moment des guerres de religions. L'église possède deux lavabos destinés aux ablutions du prêtre, ablutions qui séparait le rinçage du calice et le lavement des mains. L'église a été désacralisée en 2006. Les vitraux, de Jacques Yankel ornent l’église romane depuis sa restauration en 2007, ce qui en fait une église romane neuve !!!!

Escalier menant au clocher

Abside à meurtrières, à droite, au-dessus de l'arc en anse : la sacristie du XVIIème siècle

Haut du clocher-peigne

Portail

portail et calade menant à l'église

Détail clocher peigne

Sacristie au dessus de la voûte

Abside, clocher et sacristie

Lavabo bas XIIème siècle

Table d'autel carolingienne (antérieure au Xème siècle)

Lavabo haut XIIème siècle

Première nef fin XIème et chœur voûté en cul de four

Deuxième nef XIIème siècle voûté d'arêtes. Au fond ouverture fermée par l'ajout de la sacristie

Voûtes en berceau allant vers la nef nord

Table autel carolingienne Xème siècle

Voûte en berceau entre nef et chœur XIème

Au sol, pierre tabulaire de l'ancien autel

Bénitier

Niche dans le chœur de l'abside du XIème siècle

Vierge à l'Enfant médiévale

Baie romane murée

Le soleil et la lune qui se voilent : St jean et Marie (réalisé par Ph. Zuberbuhler 1994)

Entrée en arc simple

Les vitraux, de Jacques Yankel ornent l’église romane depuis sa restauration en 2007. J. Yankel, né en 1920 est un géologue devenu peintre et sculpteur.

La soie, source de gros revenus fait prospérer le village. Autour du village médiéval, les abords changent et les calades (ruelles étroites entrecoupées de voûtes) du vieux village font placent à des routes plus larges permettant le passage des charrettes. Il devient urgent de construire une église plus grande. Elle voit le jour entre 1890 et 1895. De style néogothique, c'est une œuvre collective : construite par les paroissiens sous l'impulsion du curé R. Chareyre (il avait acquis une solide expérience de bâtisseur dans son ancienne paroisse de Borée). On y accède par un monumental clocher porche. Elle est en forme de croix latine, dont chaque bras du transept abrite une chapelle. Le chevet est à cinq pans. A l'intérieur, le chœur et la nef sont éclairés de vitraux en lancettes. Les voûtes sont en croisées d'ogives. Le transfert du mobilier de l'église romane vers cette église aura lieu en 1895 : autel de la Vierge, Vierge en bois doré, croix de procession, etc. Le chemin de croix sera ajouté en 1899 et le clocher en 1911

Eglise 1895

Clocher porche 1911

La nef

Colonnes et chapiteaux du porche

Porche

Inscriptions du tympan du porche

Chemin de croix et St Antoine de Padoue

Chapelle à la Vierge

Chemin de croix et Ste Thérèse de Lisieux

Chemin de croix et Ste Jeanne d'Arc

Fonts

Chemin de croix et St Antoine l'hermite

Chœur vitraux et maître-autel

Table du maître-autel

Tabernacle du maître-autel

Autel latéral de la Vierge

Croisée d'ogives d'une chapelle latérale et bas côté

Autel latéral St Joseph

Autel d la Vierge

Tableau cœur sacré de Jésus

Autel Saint Joseph

Nef : vitrail en lancette

Vitrail

Nef : vitrail en lancette

St Isidore

St Georges

St Lazare

Ste Marie Madeleine

Ste Marthe

St Louis

Tableau du chœur

Voûte du chœur et vitraux : Lazare, Marie Madeleine et Marthe

Chapelle latérale : icône d'une Vierge Eleousa

St André

Dôme derrière la galerie

Vierge à l'enfant

Clocher XXème siècle

Dôme derrière la galerie

Tableau chapelle St Joseph

L’épidémie de choléra de 1854 fera six morts mais celle de 1884 aucun, bien que les villages alentours soient très touchés. Le vœu avait été fait de construire une chapelle si Balazuc était épargné : on élève donc une chapelle dédiée à Notre-Dame de Lourdes, au bord de la route à l’entrée du village au lieu dit "Chazotte". Elle est rénovée en 1809. Repose sous le dallage de la nef l'initiateur de la chapelle, le curé Chareyre et les cendres du dernier curé du village : Fortuné Rouveyrol. Au dessus de l'entrée, le vitrail représente Pons de Balazuc, un des premiers seigneurs connu, qui a fait la première croisade et fut tué juste avant la prise de Jérusalem en 1099. La chapelle est de forme rectangulaire à une nef unique et chevet polygonal. En haut de sa façade, un clocheton est surmonté d'une Vierge de Lourdes

La Vierge

Nef

façade

Le chevet à trois pans

Nef et chœur

Le Porche : 1885 - R. Denis

Tombe de Fortuné Rouveyrol

St Jean François Régis

L'autel et les vitraux du chœur

Saint Joseph

Saint Antoine Hermite

Le Roi David

Saint Firmin

Bénitier

Vitrail de Pons de Balazuc

Chapiteau

Quelques stations du chemin de croix

Chapelle funéraire du XIIIème - XIVème siècle. Au-dessus de la porte un écusson, très abîmé, représente un épervier : en 1300 le Seigneur de Balazuc se nommait Guillaume des Eperviers. Cette chapelle était en ruine en 1762 et l’est toujours. A côté on peut voir une autre chapelle ruinée, de structure romane dont une partie a été transformée en garage

 

Façade en ruines de la chapelle

L'écusson (épervier)

Porte en ogive

Baie romane

Baie romane

Ensemble

Côté de la baie romane

Croix du Portalas1867

Croix face à l'église nouvelle

Les instruments de la passion

Croix face à l'église nouvelle

Visage du Christ couronné d'épines

Croix près de la chapelle St Jean Baptiste

Croix de l'ancien cimetière

1884 Croix des Poudevigne : le socle avait une petite cavité pour y mettre l'eau bénite

Croix route de Balazuc aux Louanes, près des Louanes

Croix du hameau du "Petit Bois"